DOMINICA

Côte

L'ILE NATURE

Malgré son appartenance au Commonwealt, malgré son entourage martiniquais et guadeloupéen, malgré les facultés touristiques qu'elle possède, La Dominique est restée l'ILE NATURE que chaque écologiste réel et sincère voudrait habiter. Autoroutes ? Il n'y en a pas. En effet, dans ce paradis terrestre, il n'existe pas la nécessité de dégorger la circulation routière par de grandes voies à circulation rapide telles qu'on connais dans les pays où " le temps c'est de l'argent ". Les moyens de transport, modestes mais efficaces, permettent à tout un chacun de se rendre à n'importe quel coin de l'île sans trop se presser, sans le stress des bus ou des trains qui arrivent à l'heure pour celui qui y arrive en retard, ou ceux qui ont pris du retard que des Haut-parleurs essaient de justifier.

Pour les sensibles du frein ou de l'accélérateur, leur déception sera de ne pas entendre les pneus crisser à chaque feu rouge : Aucun feu tricolore dans l'île !...Le visiteur se prend plaisir, quand l'occasion rare se présente, d'admirer un policier, sans armes, enfiler ses gants blancs et, d'un geste lent et gracieux, organiser le passage des voitures dans les carrefours, sans énervement des automobilistes qui, inconsciemment, l'aident par leur calme et leur sens de la responsabilité collective.

Sa topographie est très accidentée et est restée naturelle. A chaque virage le visiteur découvre un relief différent, entrecoupé d'une rivière serpentant vers une mer calme et bleu azur.